Découverte sur Orasia

[Isabelle]

Un Vaisseau Mère Ori accompagner d'un Croiseur Ori faisaient route vers une planète assez évoluer technologiquement parlant, ce peuple avait envoyer un message aux Oris disant qu'ils voulaient se convertir à Origine une demande encore jamais formuler par aucun peuple preuve que la religion d'Origine était populaire et bénéfique pour beaucoup de planètes.

Les deux Vaisseaux arrivèrent donc en orbite de la planète là le Prêcheur du Vaisseau Mère contacta le Doci qui se trouvait à l'Enclave Ori, Oricia la planète mère des Oris dans la Voie Lactée, une communication vidéo commença entre les deux fidèles.

" Doci, nous sommes arriver sur Orasia, nos Vaisseaux sont en orbite et un Cargo est en route pour déposer des Anneaux de Transport sur la planète. "

" Parfait, descendez sur la planète et parler au Dirigeant de ce peuple. "

Un Soldat Ori et s'adressa au Prêcheur, voyant le Doci sur l'écran il s'inclina immédiatement.

" Prêcheur les Anneaux sont en place et la plus par des habitants sont déjà réunit devant. "

" Très bien. "

La Communication se coupa le Prêcheur quitta la Passerelle en laissant le relai à un autre Prêcheur, le Soldat Ori quitta également la pièce.

Les Anneaux de la planète s'activèrent et le Prêcheur apparut et immédiatement les habitants s'inclinèrent devant lui, le Dirigeant de ce peuple un homme assez âgé du nom de Mizal s'avança toujours à genoux et dit.

" Au grand Prêcheur vous avez donc reçu notre demande. "

" Vous nous avez fait part de vos besoins nous sommes donc venu pour vous apporter la lumière d'Origine et l'amoure des Oris ainsi que leur protection. "

" Nous ne demandons que sa Prêcheur, nous somme près à accepter Origine. "

" Vous ne l'êtes pas encore Mizal, ni les autres mais je suis là désormais, je vous orienterais vers le droit chemin écouter ma voix elle transmet celles des Oris ! "

Mizal était surpris le Prêcheur connaissait son nom, le Prêcheur leurs fit signe de se relever, ce qui firent les Orasiens ensuite il sortit le Livre des Origines, il l'ouvrit et commença à le lire, pendant ce temps les troupes Oris débarquèrent sur la planète pour y installer des fortifications et des défenses planètes, après plusieurs heures le Prêcheurs n'avait toujours pas finit d'apprendre au peuple d'Orasia la religion d'Origine en revanches les Soldats Oris avait installer plusieurs Canons de Défense à la Porte des étoiles, des soldats poster à des endroits stratégique en cas d'attaque, des chasseurs patrouillant au dessus des villes, le Croiseur Ori au dessus de la Capitale, un Canon Planète et un Satellite Ori en orbite tout se déroulait parfaitement bien.

Le Prêcheur qui était rester dans le Vaisseau Mère Ori contacta le Doci pour lui faire un rapport de la situation.

" Doci, les Orasiens ont accepter Origine, nous avons commencer à leur enseigner le Livre des Origines et nous avons installer quelques défenses. "

" Excellent lorsque le Prêcheur aura fini de leur apprendre dites leurs de commencer les constructions immédiatement et dans une semaine vous enverrez les 3 plus fervent des fidèles à Oricia pour qu'ils deviennent Prêcheur, vous devez faire vite l'Oricy veut que nous construisions plus de Vaisseaux pour défendre nos fidèles. "

" A vos ordres Doci. "

[Venturi]

La porte des étoiles s'ouvrit. Avant qu'elle ne se referme, le Duc Venturi, accompagné comme toujours de Simara, avait traversé et était apparus sur Orasia. Bien que Venturi eu les mains levées bien en évidence en signe d'appaisement, les gardes des Oris gardaient leurs armes pointées sur les deux hommes. Il est vrai que SImara avait gardé la main posée sur la garde de son épée, ainsi que l'air de celui qui compte s'en servir incessement sous peu, son éternel sourire toujours en place.

Je suis le Duc Venturi. Ce peuple est sous ma protection, aussi j'entends que vous m'expliquiez ce que vous faites ici. Cette planète fait partie du territoire de l'Union Demalienne, aussi, et je veux que ce soit bien clair, elle conservera son indépendance. J'aurais donc, pour que nous commencions à nous connaitre, deux questions : qui êtes vous ? Que faites-vous ici ?

Après un instant de silence en flottement, il ajoutta, avant que la situation ne devienne gênante :

Ah, et... À part moi, qui est habilité à commander, ici...?

Et il chercha son homologue du regard.

Il commençait déjà à s'impatienter. Il avait tellement mieux à faire qu'être ici... Mieux, oui, mais pas plus important. Enfin... Important pour qui ? Pour les peuples, pour l'Union, ou pour lui ? Non, décidément, même si Venturi aurait mille fois préféré être ailleurs, c'était bel et bien la place du Duc, et il se devait de s'y tenir. Il jetta un oeil à Simara, derrière lui, et s'avisa que le garde du corps n'avait toujours pas desseré sa prise sur la garde de son épée, et que ses jointures en blanchissaient déjà...

Se passant la main dans les cheveux d'un geste détendu, malgré les dizaines d'armes pointées sur lui, le Duc s'avisa que la prise de contact aurait pu commencer d'une façon bien pire... Et que ça aurait pû bien mieux se passer. Réprimant un leger frisson de froid, la Duc se rappella que rien n'avait encore commencé.

[Isabelle]

Après l'arriver des ces deux inconnus un Soldat Ori se précipita vers le Prêcheur qui était encore entrain de lire le Livre des Origines au peuple d'Orasia le soldat lui expliqua se qui se passait, grâce à leurs lien psychique amplifier par leurs Bâtons de Prêcheurs les Prêcheurs Oris pouvaient communiquer entre eux et c'est se que celui-ci fit, celui qui supervisait la construction des bâtiments fut donc appeler pour aller voir ces deux nouveaux arrivant, le Prêcheur arriva enfin accompagné de Mizal le chef de ce peuple toujours entourer des Soldats Oris.

" Repos Soldats ! "

Les Soldats Oris se mirent donc au repos et baissèrent leurs armes.

" Pour répondre à vos questions nous sommes des fidèles des Oris nous sommes venue ici car les Orasiens ont demandé notre aide, il ont exprimer leur besoin d'Origine il était donc de notre devoir de venir leur apporter la divine lumière des Oris. "

" Il dit vraie Duc Venturi nous avions entendu parler d'Origine et des Oris, nous avons donc demandé à leurs fidèles de nous montrez la voie bénit et désormais nous vénérons les Oris les seuls vraie Dieux de l'Univers ! "

" Les Oris ne sont pas les seuls Dieux de l'Univers mais seul eux son bienveillant et acceptent de partager leur savoir avec nous honorons les, Loués Soient Les Oris ! "

" Loués Soient es Oris ! "

[Venturi]

Le discours du prêcheur élargit encore (si c'était possible) le sourire de Simara, qui, sans lacher la garde de son épée, se pencha en avant pour murmurer à l'oreille du Duc :

Eh, tu penses qu'ils les louent à combien, leurs zoris ?

Se rappellant soudain qu'ils étaient partis à la hate et que son garde du corps était toujours pieds nus, Venturi sourit au jeu de mots. Mais l'expliquer à l'assistance pourrait créer un incident diplomatique... Le Duc fixa son regard vers Mizal. Il avait déjà vu cet homme, c'était sûr, au moins croisé. Mais il voyait tellement de monde ces derniers mois... En tout cas, il était convaincu que ce Mizal parlait mieux avant, sans cet accent qui rendait la compréhension difficile...

Prêcheur ? Vous prêchez donc une religion... Vous admettez qu'il y a d'autres dieux, mais prétendez adorer les seuls à êtres bons... Après tout, chacun voit en son état la bonne et juste police. Le problème vient de la multiplicité des individus et des peuples. Traitez celui-ci au mieux. Ne lui interdisez rien, que ce soit de rejetter vos croyances, ou simplement de penser. Ils semblent l'avoir déjà oublié, mais il y a peu, ils se sont battus, et moi à leurs cotés, pour leur indépendance... Et les voila déjà prêts à embrasser avec joie de nouvelles chaines... Eh bien soit. Au moins auront-ils cessé, pour une courte période, d'être des moutons, et, si la Liberté leur a fait peur, c'est qu'ils n'en étaient pas dignes.

Le regard du Duc se posa sur une cicatrice qui couvrait l'avant-bras de Mizal. Alors, un élément lui revint.

Cette marque, c'était pour me sauver la vie.

Ouvrant doucement le haut de sa chemise, Venturi dévoila une de ses propres blessures, qu'il avait reçue ici même, devant la porte, plusieurs jours après son arrivée sur le champ de bataille qu'avait été cette planète.

Et celle-ci était pour votre liberté à tous. Elle est votre, et il est vrai que vous avez le droit d'en faire l'usage qu'il vous plaira. Et même de la déposer béâtement sur l'autel de la servitude.

Le Duc planta soudain son regard dans celui du prêcheur.

Mais peut être suis-je en train de m'égarer... Peut-être n'attendez-vous rien de ce peuple, et peut-être le laisserez-vous vivre sa vie sans la chambouler... Prêcheur, ayez l'amabilité de me détromper si je fais fausse route... Et le bon sens de ne pas me mentir si j'ai raison.

[Isabelle]

" Lorsqu'un peuple se convertit à Origine il reçoit la lumière divine des Oris ils est donc sous leurs protection et sous celles de leurs fidèles, les Oris prennent soins de leurs fidèles les maladies, la famine, la pauvreté est inconnue et pour une vie de servitude et de dévotion totale les Oris nous offrent l'ultime récompense finale l'Ascension, le but de l'existence, Origine apporte réconfort, protection et conseil à ceux qui suivent la voie bénit et l'Oricy est là pour nous guider sur le droit chemin. "

" Le Livre des Origines dit Suivez la Voie Bénit et nous vous guiderons sur le chemin de l'Illumination, nous savons se que vous avez fait pour nous Duc Venturi mais justement parce que nous somme libre que nous avons pleinement le droit de choisir notre mode de vie et nous somme toujours libre. "

" Je dirais même que vos vies sont sur le point de s'améliorer cette planète deviendra à vraie havre de paix et de prospérité sous le regard bienveillant des Oris, honorons les Loués Soient Les Oris. "

" Loués Soient Les Oris. "

Le Prêcheur leva son bâton, il s'illumina et les blessures du Duc Venturi et de Mizal disparurent.

[Venturi]

Le Duc referma sa chemise, les marques de ses combats ayant disparu.

Je ne saurais vous remercier pour cela. Ces cicatrices me rappelaient sans cesse le prix de la Paix, la valeur du Droit et le parfum de la Liberté.

Après avoir marqué une pause, Venturi reprit.

Ainsi, vous échangez une Liberté durement acquise contre une promesse de sécurité...

Le Duc s'arrêta là. Il reprit quelques secondes après.

Vos oris exigent servitude et dévotion, comme vous le dites, en échange de quoi ils promettent des choses... Interessante pratique, supposée mener à l'élévation de la conscience... "Écrasez -vous, on vous relevera". Philosophie étrange s'il en est. Je ne m'y plierais pas. Et je ne laisserais aucun des miens se perdre ainsi. Je ne vends pas de rêve. Je n'offre que la dure réalité, dans toute sa plus cruelle splendeur. Chacun de ceux qui m'accompagne sait pourquoi il se bat, sait pourquoi il est en vie. Je ne leur ordonne rien, ils font ce que leur dicte leur conscience d'hommes libres.

Désignant Mizal du doigt, le Duc conclut.

Je vous laisse ce peuple, prêcheur, puisque ce n'est déjà plus celui qui s'est battu pour pouvoir décider de son destin, et qu'ils se passent eux même en souriant le collier de la servitude qui semble leur manquer déjà. Ils sont à vous. Traitez les bien. Et ne vous approchez plus jamais d'un territoire de l'Union Demalienne sans autorisation. Cela déclencherait une guerre que vous ne sauriez gagner, puissance divine ou non. Simplement parce que Nous, nous Existons.

Sans perdre plus de temps, le Duc s'approcha du DHD et commença à taper une adresse, mais la main d'un soldat des oris se posa sur son bras, l'interrompant. Venturi entendait déjà la lame de Simara qui quittait son fourreau et fendait l'air. Il lui fit signe de s'arrêter, mais trop tard. Le bras du soldat vola, parcouru les airs en une courbe gracieuse, répendant ça et là des gerbes de sang poisseux. Avant même qu'il ne touche le sol, le Duc et son garde du corps se tenaient dos à dos, lames sorties, et prêts à en découdre, encerclés pas les soldats des oris.

Venturi murmura à l'adresse de Simara :

Je n'ai jamais aimé ta façon de m'épauler lors de mes tentatives de diplomatie...

Se tournant vers l'homme au baton qui dirigeait, le Duc choisit l'appaisement.

Prêcheur, soignez cet homme, et restons en là. Vous n'avez pas plus que nous à gagner dans une extermination mutuelle... Je pense pouvoir abattre au moins deux des votres avant de succomber sous vos tirs. Et je crois que Simara n'est pas d'humeur à mourir avant d'en avoir tué... Quoi...? Trois, quatre...?

Le Duc regarda son garde du corps, tout sourire, qui étendit devant lui sa main, tous les doigts ouverts.

Cinq cents ? Bien, après un calcul rapide, vous risquez fort de perdre aujourd'hui cinq cents deux hommes, au bas mot, pour ne tuer que moi et mon garde du corps... Je pense que nous serons d'accord pour dire que c'est trop cher payé pour ceux qui prétendent proteger leurs fidèles... Que vos hommes rangent leurs armes, et nous ferons de même.

[Isabelle]

le Prêcheur leva son bâton celui-ci s'illumina, il le pointa ensuite vers l'homme blesser la douleur disparue et il fut ensuite transporter au Village pour être totalement soigné puits il planta son bâton fortement dans le sol qui eu pour conséquence la projection des armes de Simara et de Venturi ils était désarmer.

" Soldat emmener les sur le Vaisseau Amiral, une seul personne peut juger votre acte...........l'Oricy ! "

Les Soldats Oris paralysèrent les deux Demaliens t conduire leurs corps sur le Vaisseau Amiral.

Une fois arriver à bords ils furent conduit en Cellule.

[Venturi]

Si Simara souriait encore, c'était parce qu'il savait que c'était là qu'ils étaient le mieux... Cette cellule était bien plus facile à défendre à deux que la plaine devant la porte, où ils pouvaient être attaqués de partout. Et l'appareil que le Duc avait, l'inhibiteur, une fois activé, empechait les prêcheurs d'utiliser leurs capacités. Certes, ils n'avaient plus d'armes, mais Simara n'en avait pas besoin,e til en prendrait vite à ses adversaires, pour lui et pour Venturi. En somme, avoir été capturé fut la meilleure chose qui leur était arrivée de la journée... Enfin presque.

Le Duc non plus ne paraissait pas soucieux. Il n'y avait rien à faire de toute manière, à part attendre. Et ils étaient prêts, à tout. En fait, ne leur avait-on pas dit qu'ils allaient rencontrer l'or ici ? L'Union n'avait pas besoin de fonds, mais... C'était toujours un plus non négligeable... Cela dit, quelque chose faisait penser au Duc que ce n'était pas vraiment de cette ressource dont il était question...

[Isabelle]

Adria arriva par la Porte, elle abandonna son apparence humaine et reprit sa forme d'être de lumière elle apparue donc devant la Cellule de Simara et Venturi, une apparition en flamme.



" Je suis l'Oricy pourquoi avez vous attaquer mon peuple ? "

[Venturi]

Voyant l'apparition, Simara ne put retenir un nouveau jeux de mots.

Alors elle, elle a vraiment le feu au...

Mais Venturi l'interrompit d'un geste de la main. Il y avait eu assez d'incidents diplomatiques pour le moment... Le Duc s'avança pour parler à son homologue féminin.

Vos informations sont érronées, nous n'avons pas attaqué votre peuple. Vous avez pervertit le mien. Comme il s'est laissé faire, je ne vous en tiendrais pas rigueur... Cela dit, quand nous avons voulu partir, un de vos soldats à voulu nous retenir... Simara, ici, présent, à tendance à être... Disons... Un peu nerveux... Et il a réagi... D'une manière que l'on pourrait qualifier de... Violente...

Venturi en avait déjà assez de devoir chercher ses mots pour éviter l'esclandre. Las, il enclancha l'inhibiteur. Aussitôt, les flammes entourant l'Oricy s'évanouirent, signe qu'elle n'avait plus de pouvoirs dans cette zone.

Nous pourrons ainsi discuter plus sereinement...

Le Duc ne prit même pas la peine de voir si la jeune femme en était perturbée ou agacée, et il poursuivit.

Alors, j'admet que Simara n'avait pas vraiment à couper ce bras, mais il a joué son rôle de garde du corps, et ce comme il se doit. Il a réagit à ce qu'il a prit pour un acte hostile... Ainsi, je suis en droit de vous retourner votre question : Pourquoi nous avez-vous attaqué, moi et mon garde du corps ?

Venturi croisa les bras, attendant une réponse. Simara prenait une pause nonchalente, mais le Duc savait qu'il était prêt à bondir pour le défendre. La jeune femme, sans ses pouvoirs, n'avait aucune chance contre le garde du corps. Mais il semblait évident qu'aucun affrontement n'allait avoir lieu.

[Isabelle]

Venturi pensait que son plan avait marcher mes les pouvoirs des Oris sont infinis elle s'approcha donc de la Cellule, elle l'ouvrit et poussa Simara et Venturi contre le mur en les maintenant dessus.

" Sachez que votre petit inhibiteur ne marche pas sur moi ! C'est vous qui êtes venue sur Orasia avec des intentions hostile le Prêcheur à sonder vos esprits, et nous n'avons pas convertit ce peuple c'est eux qui nous ont appeler, Nous ne vous avons jamais attaqué, les Soldats à la Porte ne faisait que protéger les Orasiens, vous étiez armé. "

[Venturi]

Plaqué au mur, le Duc envoya au loin l'inhibiteur, repensant au prix d'achat de la machine et à sa flagrante inutilite...

Des intentions hostiles, qui sont propres à tous ceux qui veulent protèger les leurs... Pour ce qui est du sondage d'esprit... Sachez que Simara à toujours envie d'étriper tout le monde... Rien d'étonnant donc à ce que votre prêcheur ait perçu... Des ondes négatives. Et vos hommes aussi étaient armés... Nous n'avions que nos lames. Sachez-le cependant, avant l'incident qui a causé votre visite, nous étions sur le point de partir... J'ai d'ailleurs dit au prêcheur que je vous laissait ce monde, puisqu'il a renié sa propre fierté. Cependant, et je l'ai dit aussi, si vous vous approchez à nouveau d'un de nos peuple sans autorisation de ma part, pour quelque raison que ce soit, nous vous déclarerons la guerre, une guerre que vous serez assurée de perdre...

Se souvenant enfin qu'il était plaqué au mur, et pas vraiment en position de force, le Duc rajouta :

Et si vous vous amusiez à nous tuer ici et maintenant... La guerre serait immédiatement lancée, et menée par Eleas... Je ne pense pas que vous soyez gagnante au change : C'est un mercenaire très doué... Reposez-nous, arrêtez vos enfantillages, et laissez nous partir. Continuez votre route loin de la notre, et tout se passera pour le mieux pour nos peuples respectifs.

[Syrus]

Depuis son Tel'tak occulté qui avait suivi le croiseur après que Adria ait quitté Arausio, Syrus observa toute cette scène à quelques mètres de l'Oricy, et se délecta de la position bien fortuite dans laquelle se trouvait ces humains si vaniteux !

"Tu vois", lança-t-il à à son pilote, "je serai dans la position d'Oricy, un mâle aussi arrogant s'adressant sans aucun respect à moi, devant mes troupes, j'hésiterai pas 1sec, sa tête servirai de dessert à mes cochons ! "

Le jeune jaffa aux commandes du Tel'tak ne sut pas s'il devait en rire, mais lâcha un petit sourire en coin.

"Souhaitez vous les rejoindre mon seigneur ? "

"Pas pour l'instant, je préfère conserver l'effet de surprise, attendons de voir comment va se décanter cette situation des plus loquaces ?"

[Isabelle]

Venturi n'aurais jamais du s'adresser sur sont tond à Adria elle n'était pas d'humeur en ce moment.

" Faites attention Duc et écouter bien ce que je vais vous dire, ce peuple nous ne l'avons pas soumit de force c'est eux qui nous ont demander de l'aide preuve que votre gouvernement ne devait pas les satisfaire et si le même scénario devait se reproduire nous apporterons avec plaisir la lumière d'Origine mais la voie de la colère détourne de l'Illumination je suis donc d'accord pour une éventuelle paix. "

Adria relâcha Venturi et Simara elle sortit de la Cellule en la laissant ouverte, mes deux Prêcheurs vinrent pour les escorter.

" Acceptez vous de discuter d'un éventuelle accord ? Nous en discuterons dans mes Quartiers mais il y aura peut être un invité surprise. "

Pendant qu'Adria, Venturi et Simara discutaient un Prêcheur alla sur la Passerelle et contacta le Telt'ak camouflé de Syrus celui-ci allait bientôt apprendre qu'Adria avait perdue son enveloppe physique depuis bien longtemps.

// Seigneur Syrus, nous savons que vous êtes là, l'Oricy vous invite à la rejoindre dans ces Quartiers pour discuter de la diplomatie et de l'avenir des Fidèles des Oris et des Goa'ulds, acceptez vous l'invitation ? //

[Venturi]

Un rayon de lumière entoura le Duc et son garde du corps. Ils disparurent l'espace de quelques secondes, puis ils furent de nouveau téléportés dans la cellule. Cachant sa fierté d'avoir enfin acheté une machine utile auprès de ce marchand miteux qui proposait des téléporteurs asgards, le Duc réajusta ses manches. Avec un sourire d'excuse, Venturi se tourna vers Adria.

Pardonnez-moi, mon cuisinier voulait me demander vers quelle heure je comptais passer à table...

Eux, prisonniers ? Jamais. Ou en tout cas, jamais bien longtemps.

Mais vous nous proposiez, avant cette interruption, un accord de paix, me semble-t-il...? Je crois que cette proposition arrive fort à propos, Eleas et ses troupes reviennent justement de Dakara et se postent actuellement non loin de plusieurs de vos planètes... Il serait tout à fait regrettable que, par accident, il presse le bouton de l'armement, situé si près de celui qui active les communications... D'autant plus que, le connaissant, c'est une erreur qu'il ferait bien volontier...

Simara approuva d'un signe de tête. Le Duc continua.

Alors dépèchons-nous, parlons de paix... Dans vos quartiers si vous le souhaitez, et si vous n'avez pas peur que le trajet, de part sa longueur, offre à Eleas l'opportunité de faire une regrettable erreur...

[Syrus]

"Excellent, nous allons enfin nous amuser, mon plan se déroule à merveille, réponds lui dont ! "

"Ici Rich'ka, pilote du Seigneur Syrus, mon maitre rejoindra dont l'Oricy dans ses quartiers. Terminé.... "

Syrus s'approcha de son pilote qui lui indiqua la position des quartiers d'Adria.

Les portes s'ouvrèrent et Adria entra en tête.

"Comment êtes vous arrivé dans mes quartiers sans que mes soldats ne m'aient avertie de votre arrivée..." s'interrogea l'Oricy qui sentait quelque chose de différent chez Syrus.




"Ne croyez pas tout connaitre charmante Adria, l'avenir révèle toujours son lot de surprise ! " Syrus attendit que l'Oricy fasse les présentations avec les humains si sûrs d'eux ...